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Le droit comparé permet de s’initier à l’étude de familles juridiques différentes de la nôtre : systèmes de Common Law, droit japonais, droit chinois, droit des pays arabes, etc. C’est aussi une manière d’approfondir la connaissance du droit français par la confrontation des manières de traiter différents domaines du droit (droit des contrats, droit des affaires, droit des biens, etc.).

La formation à l’approche comparatiste repose sur les enseignements dispensés par des professeurs français et étrangers renommés. La rédaction d’un mémoire de recherche conduit également les étudiants à passer quelques mois dans une université étrangère. Les qualités attendues chez les étudiants sont une solide formation juridique de base démontrant un vif intérêt pour le droit international, européen ou étranger, un excellent niveau d’anglais, une « maturité universitaire » pour aborder intelligemment le droit d’autres pays.

Les étudiants peuvent préparer une thèse de doctorat, car l’approfondissement de la dimension comparatiste confère aux travaux de recherche une valeur ajoutée irremplaçable pour devenir enseignants-chercheurs, travailler comme avocats ou juristes dans des cabinets internationaux ou des services juridiques d’entreprises multinationales, mais également faire carrière dans la fonction publique internationale.