Le président du Conseil National du Barreau, Jean-Marie Burguburu, a précisé au sein d’un communiqué en date du 10 Mars 2014, qu’il est inadmissible qu’un avocat soit mis sur écoute et ce, quel qu’en soit les circonstances. Il est précisé que le secret professionnel imposé à l’avocat doit être « général, absolu et sans limite » et ce, quel qu’en soit les circonstances, ou l’affaire. Il est également rappelé qu’il s’agit d’une « garantie fondamentale des libertés individuelles ». Et que c’est à ce titre que le juge d’instruction devra veiller et contribuer à sa préservation.
Ambre de Vomécourt
Doctorante