La Grande Famille est une initiative du cabinet d’avocats Cohen Amir-Aslani destinée à soutenir et encourager des étudiants des IUT de Bobigny, Saint-Denis et Villetaneuse désireux de se former au monde de l’entreprise.
Le prix de La Grande Famille c’est quoi ?
- Une bourse de 3.000 € versée en quatre fois sur deux ans
- Un parrainage de deux ans par un membre du cabinet Cohen Amir-Aslani
- Au moins un stage rémunéré d’un mois minimum au sein d’une entreprise partenaire
- Un stage d’un mois minimum dans un pays étranger pour le plus méritant des cinq lauréats.
Tu as remporté le prix La Grande Famille. Qu’est-ce que cela va changer pour toi ?
Hassanatta KAMAGATE. La Grande Famille sera pour moi l’occasion d’être en contact avec le monde du droit aux côtés de professionnels pendant 2 années riches en enseignements. Cela me donnera l’occasion d’apprendre, de grandir à leurs côtés et de consolider mon projet professionnel.
Djeneba TRAORE. Je pense que le fait d’avoir remporté le prix de La Grande Famille va beaucoup m’apporter tant sur le plan humain que professionnel. En effet, il s’agit d’une grande opportunité qui pourrait m’aider à m’ouvrir aux autres, à partager des moments uniques et à ressortir grandie à l’issue de ces deux années de parrainage. Je sais que les membres du cabinet seront présents pour m’épauler et me motiver dans mes études.
Anaëlle TABURET. J’assiste à des sorties très culturelles, dans des endroits splendides avec des gens importants, j’essaye d’avoir un comportement approprié. J’ai vraiment rencontré des personnes extrêmement intéressantes et enrichissantes, aux parcours très diversifiés mais aussi captivantes les unes que les autres.
Silvio ROCCA. Pour moi La Grande Famille va me donner une toute autre image du monde du travail et de l’entreprise, elle m’aide à me rendre compte de l’importance des réseaux qui se créent, à savoir tirer profit de toutes les opportunités qui s’offrent à moi et surtout, une certaine confiance en moi. Je m’endurci auprès d’eux, j’apprends de mes erreurs et tente de m’améliorer au maximum. Un avenir qui se dessine, et beaucoup d’ambitions, voilà ce que m’apporte La Grande Famille.
Elif ALAGÖZ. Avoir eu la chance de remporter le prix de La Grande Famille m’a permis de gagner confiance en moi et d’avoir plus d’assurance. C’est pour cela que je suis devenue plus optimiste et encore plus motivée qu’avant pour atteindre mes objectifs. J’ai su, grâce à cette importante récompense, que l’entraide existe toujours aujourd’hui. La Grande Famille me donne encore plus envie de m’intéresser à des domaines encore inconnus, et surtout, à faire encore plus pour les autres.
Pourquoi as-tu décidé de tenter ta chance ?
Hassanatta KAMAGATE. J’ai décidé de tenter ma chance car tout ce que nous offre La Grande Famille (parrainage, stages, bourse, soutien) est exceptionnel, pas offert à tout le monde et je savais que ne pas le tenter aurait été une grande source de regrets.
Djeneba TRAORE. Je pense que rien n’est acquis tant que l’on n’a pas essayé. Nous sommes dans une société dans laquelle le système scolaire français permet à la plupart des étudiants de réussir professionnellement. En effet, plusieurs initiatives, notamment La Grande Famille, permettent à quiconque de développer son réseau. J’ai donc décidé de tenter ma chance pour pouvoir essayer de bénéficier d’un soutien adapté à mon profil.
Anaëlle TABURET. J’ai décidé de tenter ma chance parce que j’ai très vite compris que ce projet de La Grande Famille était une belle opportunité pour nous, étudiants de DUT en banlieue parisienne. En candidatant au projet de La Grande Famille, j’espérais être soutenue, épaulée, par cette équipe bienveillante.
Silvio ROCCA. J’ai tenté ma chance car j’ai compris qu’il fallait arrêter de se cacher, d’attendre que la vie défile sans rien faire, dans l’espoir que quelque chose de bien se présente à nous. Lorsque quelqu’un vient frapper à votre porte, en faisant le premier pas et en vous offrant ce que vous ne pouvez retrouver ailleurs, le choix est vite fait. C’est pour cette raison que j’ai décidé de tenter ma chance, d’attraper la perche que l’on me tendait et d’en faire bon usage.
Elif ALAGÖZ. Lors de la présentation du projet La Grande Famille par les lauréats de la promotion 2016-2017, je me suis sentie concernée car ils visaient tous les étudiants en première année d’études supérieures. Ils nous ont offert un témoignage concernant leurs parrainages et les multiples opportunités qu’ils ont obtenues. Cela m’a directement interpellée car avoir un parrain qui nous conseille, et auquel on peut se référer est une chance. Je n’ai donc pas hésité à me filmer, naturellement, et à parler de mon parcours scolaire ainsi que mes projets jusqu’à aujourd’hui. Cette réussite est le début de mon cursus universitaire et j’en suis très fière. Je me rends compte chaque jour, et chaque moment passé avec les membres de la Grande Famille à quel point nous pouvons nous unir pour en faire une force.
Quels sont tes projets universitaires pour la suite ?
Hassanatta KAMAGATE. Après mon DUT, je souhaiterais continuer en licence de droit, continuer jusqu’au master et peut-être faire une spécialisation en droit notarial.
Djeneba TRAORE. Actuellement, je suis en DUT Carrières Juridiques à l’IUT de Villetaneuse pour deux ans. Ensuite, je pense que je complèterai ma formation avec une licence professionnelle. En effet, cette licence me permettra d’acquérir un niveau BAC+3. De plus, ce niveau est reconnu au niveau européen.
Anaëlle TABURET. Après l’obtention de mon DUT Gestion des Administrations et des Entreprises, j’envisage tout d’abord de m’inscrire en 3ème année de licence à l’Université pour, par la suite, passer les concours passerelles pour intégrer une école de commerce.
Silvio ROCCA. Par la suite, j’aimerais faire une 3ème année en licence éco gestion, pour finir par 2 ans en Ecole de commerce. Ou alors, au lieu d’enchainer directement sur une L3, je pars travailler un an à l’étranger pour améliorer mon anglais puis je reprends le cursus scolaire en Ecole de commerce.
Elif ALAGÖZ. Depuis le collège jusqu’au lycée, j’ai intégré une classe de section européenne afin de développer mes capacités en langues car je maîtrise le français, l’anglais, l’espagnol et le turc couramment. Suite à mon stage de 3ème effectué dans un cabinet d’avocats, cela m’a vraiment intriguée et poussée à continuer vers le domaine juridique. J’ai pu développer mes connaissances lors de mon année de première et de terminale au lycée lors de cours théoriques de droit. Pour ma part, le soutien professionnel lors des deux années d’études ne peut donc être que bénéfique pour mon parcours. Je souhaiterais m’orienter suite à mon Diplôme Universitaire de Technologique Carrières Juridiques à une Licence en Droit, puis à un master Droit International des Affaires.
Quels sont tes objectifs professionnels ?
Hassanatta KAMAGATE. Je souhaiterais devenir notaire ou avocate en droit de la famille.
Djeneba TRAORE. J’ai pour objectif de devenir assistante juridique. C’est l’un des métiers dont je rêve le plus, j’espère donc réussir mes études pour pouvoir y accéder.
Anaëlle TABURET. Mon premier objectif serait d’être épanouie professionnellement quel que soit le métier que j’exercerai. Cet épanouissement alimentera mon côté compétiteur et l’éternel envie de me surpasser.
Silvio ROCCA. N’ayant pas encore d’idées bien fondées sur le métier que j’aimerais exercer plus tard, je me laisse le temps d’en apprendre davantage dans les domaines de l’économie et du commerce, tout en gardant en tête qu’il serait pour moi préférable, de monter ma propre entreprise avec pour base un business plan, déjà réfléchi préalablement.
Elif ALAGÖZ. Mon plus grand souhait grâce à mon DUT Carrières Juridiques serait de poursuivre avec une Licence en Droit, puis un Master en Droit International des Affaires. Ce master me correspond car il s’adresse aux étudiants souhaitant acquérir une formation complète et transversale en droit international, privé comme public, axée sur la pratique des affaires et les relations économiques internationales. Il va ainsi me permettre d’aboutir à mon rêve qui est de devenir juriste internationale. Dans ce métier qui a pour mission de défendre et de protéger les intérêts de sa société, je sais qu’il faudra être autonome, rigoureuse, mais aussi persévérante et cela me reflète exactement, c’est pourquoi je me vois dans ce métier.