Le contrat de travail ne peut se voir subir une modification sans l’accord du salarié. La cour de cassation, réunie
en chambre sociale, dans son arrêt du 31 Octobre 2012 (n°11-17.223,D) vient entériner cette règle en précisant
que l’acceptation du salarié doit être faire de manière claire et non équivoque. Il s’agit, ici, d’infirmer une
nouvelle fois le proverbe « Qui ne dit mot, consent » qui ne reste qu’une exception en droit.
Source : « Lamy Actualité »