Le procès aura duré au total onze jours. Autant de jours pour délibérer le 25 juin sur une affaire délicate soulevant la question sur les limites entre accompagnement à la fin de vie et euthanasie. Le médecin avait été mis en cause pour l’empoisonnement ayant entrainé la mort de sept patients en fin de vie. Pour avoir
L’avocat général a requis cinq ans avec sursis à son encontre. Après environ trois heures de délibération, la cour d’assises des Pyrenées-Atlantiques a prononcé son acquittement.
Les divergences de point de vue, sur la question de l’euthanasie, sont on ne peut plus importantes. Cette décision aura un grand retentissement. Il faut dores et déjà envisager toute l’ampleur de ses conséquences.
Au regard de l’affaire Lambert, faut-il déjà conclure que le choix du médecin est de la plus haute importance ?
Ambre de Vomécourt